- Avatar :
Un héros malgré lui. Une quête extraordinaire. Un choix entre la vie qu'il laisse derrière lui et un nouveau monde fantastique qu'il apprend à aimer. Retournez dans l'univers d'Avatar de James Cameron - la plus grande aventure de tous les temps.
- Titanic :
Rose est une jeune aristocrate enfermée dans une relation étouffante avec un fiancé trop arrogant. Sa rencontre avec un artiste libre, Jack, sur le Titanic va lui ouvrir les yeux sur le monde et
Dom Cobb est un voleur expérimenté - le meilleur qui soit dans l'art périlleux de l'extraction : sa spécialité consiste à s'approprier les secrets les plus précieux d'un individu, enfouis au plus profond de son subconscient, pendant qu'il rêve et que son esprit est particulièrement vulnérable. Très recherché pour ses talents dans l'univers trouble de l'espionnage industriel, Cobb est aussi devenu un fugitif traqué dans le monde entier qui a perdu tout ce qui lui est cher. Mais une ultime mission pourrait lui permettre de retrouver sa vie d'avant - à condition qu'il puisse accomplir l'impossible : l'inception. Au lieu de subtiliser un rêve, Cobb et son équipe doivent faire l'inverse : implanter une idée dans l'esprit d'un individu. S'ils y parviennent, il pourrait s'agir du crime parfait. Et pourtant, aussi méthodiques et doués soient-ils, rien n'aurait pu préparer Cobb et ses partenaires à un ennemi redoutable qui semble avoir systématiquement un coup d'avance sur eux. Un ennemi dont seul Cobb aurait pu soupçonner l'existence.
On aimerait ne pas pouvoir l'attraper, Léo, tant la vision de cette course-poursuite dans les golden 60's procure de plaisir ! Une histoire en or que ce destin véridique de Franck Abagnale, qui dans les années 60, de sa 15e à sa 20e année, parvient à se faire passer pour pilote de ligne à la PanAm, médecin ou avocat, tout en détournant des millions de dollars ! Un personnage fascinant, que le scénario de Jeff Nathanson restitue sous toutes ses facettes, même les moins sympathiques. Et que Steven Spielberg s'est amusé à filmer avec beaucoup de grâce et de légèreté. Brio de la reconstitution, superbe générique d'introduction, rocambolesque des situations, du buble-gum jazzy ! Alors, certes, la patte de Spielberg se fait parfois un peu plus lourde, surtout lorsqu'elle s'attaque à son obsession majeure : la famille. Mais derrière la guimauve qui inonde certaines scènes, sourd une nostalgie, une tristesse liée à l'impossibilité de retrouver ce bonheur familial perdu. Une évolution notable dans l'?uvre du réalisateur, palpable depuis AI et Minority Report. Qui permet à Leonardo Di Caprio de livrer une interprétation magistrale, à la fois solaire et ténébreuse, entre le Holden de L'Attrape-C?urs de Salinger et le Gatsby de Fitzgerald. Deux scènes fortes en témoignent : la première rencontre Tom Hanks-Di Caprio, hilarante ; le déjeuner entre Franck et son père, très émouvant. Deux rencontres placées sous le signe du père, l'un de substitution, l'autre bien réel mais étranger à sa famille? Car c'est bien du côté de la relation paternelle que se situe le c?ur de cette ?uvre alerte et profonde, notamment dans cette admiration et dans cette déception mêlées entre Leo et son père Christopher Walken, bouleversant.
1997. L'épave du Titanic, le plus grand paquebot jamais conçu, est l'objet d'une exploration minutieuse, pour rechercher un célèbre diamant, disparu avec le bateau. À sa place, on trouve le dessin d'une jeune femme. Rose Dawson, centenaire, se reconnaît dans le croquis et rejoint l'équipe dans l'Atlantique. Là, ses souvenirs reviennent? 1912. Titanic était un projet démesuré, devenu le film le plus cher du cinéma. Sa réussite est pourtant magistrale. Le récit du célèbre naufrage est une démonstration époustouflante de virtuosité, alliant scènes spectaculaires et moments intimistes, et permet au spectateur de se trouver réellement sur le navire pendant cette nuit dramatique. L'harmonie entre scénario, mise en scène et quelques séquences d'anthologie en fait un très grand spectacle romanesque qui prend toute son ampleur, notamment, grâce à sa durée. --Louis Roux